*

Christian Churches of God

*
History of Nations banner
Globe logo



Dire à un ami :

Autres sites Web CCG 

The History of Religion

Abraham's Legacy




 

           Accueil           Génétique            Nations           Généalogie           Tribus            Histoire

 

Les Taux de Changements dans l'ADN

La Science Moderne vs La Bible


Version imprimable

Lorsque l'analyse de l'ADN des personnes britanniques et irlandaises a été menée par les scientifiques d'Oxford et irlandais, nous avons constaté que les taux de variation de l'ADNmt des clans ont été arrêtés à un taux standard d'un changement mutationnel de 20.000 ans. Les détails ont été inclus par Brian Sykes dans son œuvre : Blood of the Isles, Exploring the genetic roots of our tribal history (Sang des Îles, Explorer les racines génétiques de notre histoire tribale) (Bantam Press, London et al, 2006, p. 150.). Ce taux standard de changement a été appliqué à tous les clans. Le clan Ursula, une des soi-disant Sept Filles d'Ève en Europe, est tenu d’avoir son origine dans la Grèce Antique. Comme son ADNmt a eu le plus de mutations, elle a donc été présumée d’avoir été le plus ancien des clans féminins.

Cette femme a été supposée avoir coexisté avec les Néandertaliens. Ses descendants ont eu une moyenne de 2,25 mutations par rapport à l’ADNmt d'Ursula elle-même. L'âge du squelette a donc été considéré avoir 2,25 x 20.000 = 45.000 ans (ibid.).

À partir de ces vues, il est supposé que les premiers Irlandais ont construit leurs maisons à colombages sur les bords de la rivière Bann, au Mont Sandal, il y a quelque 9.000 ans, et qu'ils étaient les descendants de cet ancêtre grec femelle (ibid.). Cette vue est conforme à ce que nous savons des Irlandais, en ce que les premiers Irlandais étaient de la Grèce antique. Cependant, c’était loin de 9.000 ans.

À partir des travaux du Dr Richetti pour l'Institut Pasteur, nous savons maintenant que l'ADNmt provoque des mutations sur le génome humain tout entier et, donc logiquement, le métissage des groupes tribaux provoque le mélange de l'ADNmt, et de là, les mutations croissantes.

L'hypothèse des scientifiques concernant le taux de changements mutationnels est basé sur aucun modèle fixe, et est basé sur l'hypothèse que l'ADNmt ne provoque pas de mutation du génome humain, ce que nous savons maintenant être faux. Cette question a déjà été examinée dans l'étude L'Origine Génétique des Nations (No. 265).

Brian Sykes admet dans son ouvrage que : “c'est un malentendu fréquent et compréhensible (s'il peut y avoir une telle chose) que nous avons situé le squelette d'Ursula et les autres matriarches et avons ensuite résolu combien de temps elles ont vécu à partir de la datation par le carbone. Mais ce n'est pas ainsi, c’est tout accompli par des reconstructions” (ibid., p. 151). Il poursuit en expliquant qu’à partir des fragments d'ADN affichés sur la carte de l'Irlande, il pouvait voir que presque exactement 10 pour cent des hommes et des femmes irlandais sont les descendants directs maternels d’Ursula. Il convertit ensuite dix pour cent de la population de l'Irlande, qui est de 5,7 millions, à 570.000 Ursulans en Irlande. Cela a été fait par le fait qu'il y avait 91 échantillons ursulans sur 921 échantillons irlandais au total (ibid.). Il dit ensuite que, parce que le clan est si vieux, il n’a pu trouver que trois échantillons qui ont été non modifiés de l’ADNmt ursulan original. Il a ensuite poursuivi en déclarant que, comme tous les trois étaient des types des Ancêtres d’Oxford, il savait où ils se trouvaient, et aucun d'entre eux ne vivaient en Irlande. L’un d’eux est dans le Hampshire, un autre à Londres, et le troisième est à New York (ibid.).

On pourrait soulever une objection quant à la propagation de l'échantillon, mais acceptons cela pour le moment.

Il procède à identifier les changements. Les mutations d'une étape ou génération de l'échantillon étaient au nombre de 22. Ensuite, il y a 23 mutations de la deuxième génération ; 26 mutations de la troisième génération, 10 mutations de la quatrième génération, 5 mutations de la cinquième génération, une de la sixième génération, et une de la septième génération (op. cit., p. 152).

Celui avec les altérations les plus générationnelles depuis Ursula est un médecin à Chichester, Sussex.

Ces nombres d’altérations sont ensuite utilisés pour calculer le nombre moyen d’altérations au cours de la période, ce qui est de 2,5 en moyenne, et la séquence de temps arbitraire de un pour 20.000 ans est utilisée pour déterminer l'origine à 50.000 ans, ce qui est plus âgé que l'âge théorique d'Ursula.

L'ADN mitochondrial desdits Aborigènes dans la plus fréquente Haplogroupe N a montré peu d’altération. L’ADN-Y C et l’ADN-Y de base RxR1 de ces personnes ont montré une mutation spécifique à partir de C* de base à C4, en deux sous-groupes qui sont uniques à l'Australie, et développés à partir des groupes C* éparpillés de l'Inde au Vietnam en petits nombres, et est du même ordre de développement que le sont les Mongols C3 et les Maoris C2. (Il y a aussi K et O2 dans les groupes maoris/polynésiens d’ascendance mélanésienne et du Sud-est asiatique. Cependant, plus de la moitié sont maintenant d'ascendance européenne (cf. Underhill, ‘Maori Origins, Y-Chromosome Haplotypes and Implications for Human History in the Pacific’, 2001). Pourtant, les Aborigènes sont également alloués à 45.000 ans en Australie, ce qui ne suit pas le raisonnement du modèle.) La raison pour laquelle il y a une légère altération est que les populations ont été isolées par tribus et, par conséquent, les mutations de l'ADNmt ont été réduites au minimum en raison de leur isolement. Le simple fait que RxR1 de base est la quatrième dernière mutation sur la chaîne masculine de l’Haplogroupe ADN-Y de 22 Haplogroupes est en totale contradiction avec la revendication des 45 000 ans.

La différence de 5000 ans entre les 45.000 ans pour Ursula et les 50.000 des échantillons sont considérés être à l’intérieur de l'erreur mathématique permise pour les échantillons, mais, comme Brian Sykes l’admet lui-même, c’est bien au-delà des 9.000 ans permis pour la plus ancienne habitation irlandaise.

Il résout le problème en faisant valoir que la plupart des mutations doivent avoir eu lieu avant leur arrivée en Irlande. Ainsi, il doit être soutenu également qu’ils sont venus comme un groupe homogène.

L'argument est également mis en avant à partir de cet écart que les ancêtres de ces gens étaient des chasseurs-cueilleurs paléolithiques et ne descendaient pas des populations paysannes du Moyen-Orient de moins de 10.000 ans (op. cit., pp. 152-153).

Brian Sykes et ses collègues ont constaté que dans l'identification des 91 Ursulans irlandais, 68 ont des séquences correspondantes ailleurs. Seulement 23 étaient uniques à l'Irlande (loc. cit., p. 155). Il a estimé que la séquence de troisième mutation était à proximité et donc la séquence de quatrième génération s'est passée en Irlande. En corrigeant ensuite les dates, le temps en Irlande a été ajusté à un peu plus de 7000 ans, à 7300 ans. Il y a un argument que les mutations spontanées séparées peuvent ainsi s’être produites ailleurs aussi, mais cela n'a pas été examiné. L'équipe a admis que les dates pourraient tomber à l’intérieur de mille ans d’une manière ou d’une autre et reste dans le champ d'application de l'estimation (ibid.). La possibilité est alors fait valoir qu'ils peuvent être venus plus tôt et plus tard. La gamme pour tous les groupes est soutenue comme il y a 7,300-4,500 ans, mais les Ursulans sont le groupe d'origine en Irlande.

L'histoire des Irlandais est très claire et bien documentée. Les Milésiens ne sont pas venus en Irlande avant ca. 500 AEC (avant l’ère courante), en provenance de l'Espagne. Les Tuatha de Danann étaient les survivants qui ont duré le plus longtemps régnant depuis leur implantation à l'origine, en survivant aux Formorians et Firbolgs et se déplaçant en Grande-Bretagne. Parmi ces mutations Ursula, la plus grande est en Angleterre, où nous pourrions nous attendre à voir plus de mutations en raison de leur déplacement en Grande-Bretagne. Il n'y a qu'une seule mutation chacune des mutations de la sixième et de la septième génération, cinq x mutations de la cinquième génération, et 10 x mutations de la quatrième génération.

On pourrait donc supposer que seulement deux séquences réelles de mutation ont établi et nous sommes maintenant à la recherche du début de la prochaine série. Sur cette base, même sur les séquences de temps étendues, nous sommes sous les 9.000 ans. Cependant, ces mutations se produisent à un rythme beaucoup plus rapide que celui autorisé, et nous pouvons voir cela plus clairement à partir de l’ADN-Y.

Les taux de la Bible sont attribués à 7 mutations au cours de 4300 ans à compter de la mutation d’Ursula des Haplogroupes ADNmt L M et N, que nous pouvons supposer étaient les trois groupes de base avec les fils de Noé. Nous pouvons en permettre 7 à partir de 4200 ce qui rend le taux de mutation à une en 600 ans. Cela ferait alors les quatre générations des mutations en Irlande provenir de 2800 ans, ce qui est quand les Tuatha de Danann ont dirigé l’Irlande, avant les Milésiens. Ainsi, le récit historique est corroboré par le compte-rendu génétique de l’ADNmt lorsque comparé au récit de la Bible, et les trois séquences de temps se concordent lorsque le modèle génétique est ajusté en conséquence. Si nous l'ajustons en permettant les ruptures de l'Haplogroupe sur une plus longue période de temps, alors nous voyons le groupe Ursula simplement dégrader dans le groupe le plus prépondérant des femmes milésiennes arrivant il y a 2500 ans.

Les mutations de l’ADN-Y

Il existe deux types de mutations de l’ADN-Y. Le premier est un système stable paternel qui est censé être beaucoup plus lent dans la mutation que l'ADNmt, il est allégué de prendre des dizaines de milliers d'années pour muter, avec seulement une seule séquence de mutation entre les clans. La seconde séquence est beaucoup plus rapide en mutation et est comme une répétition de la séquence telle que TAGA étant répétée 12 fois. C’est comme un bégaiement, et l’ADN-Y perd ou gagne une de ces séquences beaucoup plus rapidement. Cette perte et ce gain ont pour résultat de diviser l’Haplogroupe en des centaines de lignées paternelles. Ces mutations sont soutenues par des scientifiques de se produire tous les 1500 ans environ. Cette période est beaucoup moins que les 20.000 ans alloués aux Haplogroupes féminins. Ces données sont encore beaucoup trop longues – et nous allons voir ci-dessous qu’elles le sont beaucoup moins que cela. Les clans connexes aux États-Unis et en Grande-Bretagne ont connu des mutations en une seule étape à l’intérieur de deux cents ans.

Nous avons déjà prouvé les altérations documentées de l’ADN-Y en une, deux et trois étapes de mutations entre père et fils sur de multiples Haplogroupes. Les hypothèses standard sont tout simplement fausses, et se sont révélées fausses par des tests d’ADN menés et validés par une université. Les tests ont montré que les deux frères de même père peuvent être séparés par une et deux et même trois étapes de mutations et toutes les trois peuvent être par mutations divergentes. Les modèles sont faux. Les séquences de temps sont maintenant avérées beaucoup plus courtes qu'on ne le pensait. Cependant, reconnaître ce fait signifie que les modèles évolutifs doivent être raccourcis. Les évolutionnistes ne modifieront tout simplement pas leur paradigme religieux. Les causes des mutations sont variées, étant causées par des virus et par radiation, à la fois de fond et induite.

Le clan le plus fréquent en Irlande est ce qu'on appelle le clan Oisin, et c'est un clan gaélique, étant moins fréquent dans les zones où l'invasion anglo-normande s’est produite. Dans le Sud-est, où la plupart de leur influence s'est fait sentir, en particulier dans le Leinster, Oisin est environ de 73%. Dans l'Ulster dans le Nord-est, il est de 81%, tandis que dans Munster dans le Sud-ouest, il est de 95%, et dans Connacht dans l'Ouest de l'Irlande il atteint 98% de tous les hommes (op. cit., p. 160).

En revanche, pour l'ADNmt, les sept grands clans maternels européens et la plupart des mineurs étaient présents en Irlande, et ils étaient plus ou moins également répartis sur les quatre provinces.

La signature du clan ADN-Y Oisin peut aussi être trouvée parmi les Basques en Espagne, et en Galice et dans les Orcades. Elle est appelée l’Haplotype modal de l'Atlantique (AMH) et a des répétitions comme suit : 11-24-13-13-12-14-12-12-10-6 sur la séquence d'Oxford.

Il existe en Écosse et en Angleterre et indique l'influence celtique juste en face des Îles. Geoffrey de Monmouth enregistre que les Celtes de Troie ont trouvé les Magogites là-bas et les subjuguèrent quand ils ont envahi la Grande-Bretagne.

Le clan se trouve en effet là où on s'attendrait à ce que les Irlandais aient voyagé selon leur histoire. Ce sont les fils de Japhet par Magog, et peut-être aussi Gomer.

La section principale de l'Haplogroupe I (Îles) en Irlande, qui était le Hg d'origine des Tuatha de Danann s’est déplacée en Angleterre et en Écosse et se confond désormais avec le Hg I qui est arrivé avec la Horde anglo-saxonne et avec les Vikings. Dan de l'Ouest est mélangé maintenant avec les autres tribus en Grande-Bretagne.

Taux de Changements

L'objection évidente au modèle mathématique à un changement par 20.000 ans n'est pas vraiment sollicitée par le milieu universitaire.

Le taux variable de changement entre les groupes d’ADN-Y et d'ADNmt montre une variation distincte sur le taux de changements par régions entre l’ADN-Y et l'ADN mitochondrial et parmi les groupes d'ADNmt et ADN-Y eux-mêmes.

Par exemple, comme nous l'avons vu chez les Irlandais de Milet, il y a neuf variations majeurs d’Haplogroupes dans la lignée et puis une série de variations supplémentaires de R1b à R1b1c7 – qui est l’ADN-Y de base des descendants de Neill des Neuf Otages qui ont vécu il y a quelque 1600 années, et les comptes de la lignée de quelque 5% de tous les Irlandais. La lignée Neill a impliqué 11 mutations d’Haplogroupe de la lignée originelle d'Adam. Dans certaines de ces mutations il y a deux et trois sous-groupes formés.

Sur la base de 20.000 ans pour une mutation, nous prenons en considération jusqu'à 200.000 ans pour les changements mutationnels de l’ADN-Y.

Nous savons que Neill a vécu au cinquième siècle de notre ère, et il y a eu une série de changements mutationnels dans le ‘bégaiement’ plus rapide de l’ADN-Y depuis ce temps-là. Si nous regardons l’ADN-Y des O'Neills, des Geoghegans et des Higgins et l'armée des autres clans que nous voyons descendus de lui, nous pouvons voir que le bégaiement mute tous les cent ou deux cents ans. Au lieu de prendre cet aspect au sérieux et de comparer le récit généalogique de l'Irlande avec les tests réels d’ADN-Y, qui montrent le taux de changement comme beaucoup plus rapide que prévu, certains universitaires ont même contesté son existence plutôt que d'affronter le fait que le modèle évolutionniste est faux et artificiellement prolongé. Le critère approprié est de mettre en place les généalogies connues et de mesurer chaque bégaiement de chaque lignée. La séquence de temps est connue exactement.

L'autre exemple parfait de test est Gengis Khan, qui est l’aïeul le plus prolifique que le monde a produit. Neill arrive seulement à la deuxième place.

Dans l'ADNmt, il y a trois changements pour le N de base rendant le supergroupe N vieux de 60.000 ans selon les évolutionnistes. Toutefois, le taux complet de l’Haplogroupe pour se rendre à K de base est cinq changements mutationnels à K qui rend la lignée originale d’Ève seulement vieille de 100.000 ans ; plus les changements mineurs au sein de K, et U est la lignée maternelle de K, ce qui fait 80.000 ans directement sur les mutations de l’Haplogroupe.

La situation réelle est donc que les ADN-Y mâles mutent presque deux fois plus vite que ceux féminins en sous-groupes discrets dans les mêmes groupes ethniques.

Il y a, en effet, 22 sous-groupes distincts d’ADN-Y (y compris R2) et 30 Haplogroupes ADNmt (y compris AuB).

La conclusion évidente que nous tirerions de ces éléments est que le taux de changements dépend de l'exposition à différents systèmes ADNmt, qui impose de lui-même les changements dans les deux systèmes sur le génome humain.

Les Effets de Radiation sur l'ADN mitochondrial

Il a également été montré récemment que la radiation affecte les taux de changements dans l'ADNmt. Les expériences ont été menées en utilisant les zones de radiation naturelle et un contrôle des radiations de faible niveau.

Les expériences ont été menées dans le Kerala, en Inde. Jusqu'à récemment, les scientifiques ont supposé que la radiation ne causait que des lésions sur l'ADN, mais il est maintenant hors de tout doute que les variations dans la radiation naturelle au fil du temps ont provoqué des mutations dans l'ADNmt humain à des fréquences aussi élevées qu’une ou deux générations.

Les effets des changements dans l’ADNmt affectent le génome humain, et auront des répercussions de mutations sur la structure ADN-Y. Les implications pour les modèles évolutionnistes sont énormes. Les séquences de temps et les modèles sont beaucoup trop longs, compte tenu des résultats.

Le document de référence est :

La radioactivité naturelle et les mutations de l'ADN mitochondrial humain

Lucy Forster *,,, Peter Forster, § , Sabine Lutz-Bonengel , Horst Willkomm| |, et Bernd Brinkmann*

Comme indiqué, l'équipe a testé les effets des radiations naturelles de fond et a trouvé que la radiation affectait les taux de changements de mutations de l’ADNmt. Par exemple, si vous êtes né dans la région du test dans le Kerala, vous subiriez des mutations rapides dans l'ADNmt, ce qui aurait une incidence sur la structure ADN-Y aussi. Ainsi, les comparaisons de l'ADN dans ces différents groupes peuvent ainsi varier de l'un à l'autre sur une période de temps plus courte que prévue. L'équipe a déclaré :

"L'observation que la radiation accélère des mutations ponctuelles à tous est inattendue, à première vue, parce que la radiation était, jusqu'à récemment, pensée pour générer des lésions de l'ADN principalement (1). Une explication possible est fournie par notre observation supplémentaire que ces mutations ponctuelles associées à des radiations sont également des points chauds évolutionnaires, ce qui indique que la radiation augmente indirectement le mécanisme normal (évolutionnaire) de mutation de la cellule (5).”

... Tels que démontrés, nos résultats d’ADNmt appuient fortement une accélération du mécanisme de mutation évolutionnaire de l'ADN par radiation.

http://www.pnas.org/cgi/content/full/99/21/13950

Le Système de la Bible

Historiquement, nous savons que les Milésiens sont arrivés en Irlande ca. 500 AEC. Ceux qui étaient là avant étaient les Tuatha de Danann, qui ont gouverné l'Irlande pendant des siècles auparavant et étaient de l’Haplogroupe I. Ces gens se sont aussi répandus en Grande-Bretagne, et, de là, la majorité d'entre eux ne sont plus en Irlande, mais en Grande-Bretagne ; et leurs femmes sont aussi là. Ceux-ci sont le sous-groupe Hg I (Îles). Bibliquement ils sont nés au plus tôt au dix-huitième siècle AEC (avant notre ère).

Leur ADN-Y ne pouvait pas être antérieur à 2400 AEC avec la naissance de Sem. Nous savons pour un fait que le Sémitique Hg J est venu de I et englobe les premiers Juifs et les Lévites à la fois dans J1 et J2 et, de là, les deux doivent être plus tard que l'Exode en 1448 AEC, ou l’ADN arabe/édomite a pénétré dans les Cohenim. Nous savons pour un fait que l’ADN-Y Askenazi Khazar a été introduit aux Lévites, avec plus de la moitié d'entre eux étant R1a Khazars (voir l’étude L’Origine Génétique des Nations (No. 265)).

La mutation peut avoir eu lieu après le premier siècle EC (l’ère courante), puisque la période après le système du Temple dans la première moitié du deuxième siècle a vu la dispersion complète. Les Lemba se sont déplacés au Zimbabwe sur la rivière Limpopo et ils conservent cette mutation, cela est également constaté au sein du clan Buba qui prétendent descendre de Cohen. Leur déplacement était avant la construction de la ville de pierre au Zimbabwe, comme ils prétendent l'avoir construite. Les historiens modernes prétendent que les Shona l’ont construite autour de 1100-1400 EC. Elle a été abandonnée peu de temps avant que les Portugais ne l’aient tout d’abord vue au 16ème siècle. Ils pourraient avoir quitté le Moyen-Orient à tout moment dans le premier millénaire de notre ère.

Bibliquement, les 22 Haplogroupes de l’ADN-Y ne peuvent pas être plus vieux de 4300 ans. Les taux de changement pour A, B, C et de la racine D, E, E3B sont tous chamitiques, et C et F se divisent à partir des fils de Noé.

Toutes les lignées sémites et japhethites viennent de F. Les Sémites sont G, H, I, J (J venant de I). Toutes les lignées japhethites viennent de K.

Ainsi, avec sept divisions jusqu’à R1b, nous avons un taux de mutations de un en quatre cents ans dans le maximum absolu.

C'est ce que nous voyons avec les groupes familiaux qui sont allés, par exemple, aux États-Unis il y a quatre cents ans ou moins, et nous obtenons des preuves des mutations en une étape dans les mêmes familles en moins de cette période dans les deux cents ans.

Les Celtes R1b se sont divisés en une série de sous-groupes en cinq mutations au cours des deux mille dernières années de sorte que les mutations se produisent tous les deux cents ans.

Lorsqu'elle est isolée dans le système stable et tribal d’ADN-Y et d'ADNmt, il y a peu de mutation au cours de la même période de temps comme nous le voyons avec les Aborigènes d'Australie.

Étant donné les taux de changement de ce point de vue, on pourrait s'attendre à voir des changements de 2,5 à 400 égal à un taux de base de la stabilité à un taux de 7 x 400 ou 2800 ans.

C'est le temps où nous nous serions attendus, en fait, à voir les Tuatha de Danann bien établis en Irlande, et les Troyens d'avoir entré en Grande-Bretagne après la chute de Troie en 1054 AEC – selon les histoires du dixième siècle avant notre ère jusqu'à la fin du premier millénaire de l'ère actuelle.

Nous savons pour un fait que les mutations se produisent plus qu’une fois en vingt mille ans à partir de l'observation historique et la distribution des tribus et des langues.

Les évolutionnistes sont manifestement erronés et travaillent dans un vide volontaire.

Changement de l’ADN-Y DYS

En plus de l'effet de l'ADNmt sur la structure de l’ADN-Y, nous savons maintenant qu'il y a des taux relatifs de mutation dans les ADN-Y DYS variables, qui sont les groupes qui déterminent les Haplogroupes et Clades du système de l’ADN-Y.

Par exemple, le taux de mutation de DYS 439 est 50 fois plus rapide que ne l’est DYS 426 ... donc DYS 439 est un séparateur généalogique alors que DYS 426 est un séparateur anthologique. Nous ne savons pas pourquoi 426 est si stable, mais nous avons apparemment des volumes de données qui montrent qu’il l’est.

L'Université de l'Arizona a fait beaucoup de travail sur les variations des marqueurs DYS, mais il est encore inédit et ainsi nous n'avons pas l'avantage d'étudier les taux de changements relatifs importants.

Le marqueur le plus important pour aider à déterminer la différence entre le R1b celtique et le sémitique I est : si vous êtes un 12 à DYS 426 vous serez Q ou R, et si vous êtes un 11, vous serez n’importe où ailleurs sur l'arbre. L’Haplogroupe Q est le marqueur amérindien, et R est le proto-aryen couvrant à la fois les Slaves et les Celtes, et certains Indiens du sous-continent, des Aryens Nord-africains et les Aborigènes d'Australie. L’Haplogroupe I est dérivé du marqueur de base IJ à S2 et S22, qui est un marqueur sémitique et hébreu.

Ce marqueur est indiqué comme étant 50 fois plus stable que le DYS 439. Par exemple, certaines familles ont noté le changement de mutation dans leurs familles à moins de 300 ans, et les mêmes familles en Grande-Bretagne, en Australie et en Amérique peuvent avoir une mutation dans le marqueur 439 depuis la colonisation de ces terres, alors que leur DYS 426 est constant comme l’ont été tous les autres ; les Celtes et les Amérindiens et d'autres groupes inclus.

Ce que nous semblons regarder est un miracle de la création humaine où Dieu a simplement confondu les gens de Babylone en définissant les séquences d’ADN-Y dans quelques-uns des DYS, ce qui a assuré leur séparation distincte en des peuples ayant des caractéristiques et des capacités linguistiques, puis a permis une variation plus rapide dans d’autres DYS qui ont gardé une trace distincte des lignées des familles et généalogiques. Ceci est la promesse que pas une seule semence de blé ne serait perdue dans la dispersion des peuples.

Jusqu’à maintenant, nous ne savons pas la base des DYS fixes et les taux de variation des marqueurs 67 à 99. Nous sommes paralysés à l'heure actuelle par la réticence académique de publier jusqu'à ce que les carrières de recherche des universitaires soient protégées. C’est basé sur un paradigme évolutionniste, en tout cas.

Lorsque nous aurons les détails, plus de choses se mettront en place et nous allons sans doute être en mesure d'examiner les changements d’ADN-Y et d'ADNmt et de déterminer leurs taux de façon plus précise.

Cela se révèle être beaucoup plus rapide que ce qu'ils avaient imaginé. Les taux de changements plus lents n'indiquent pas grand âge de l’HG stable, mais plutôt la fixation des nations.

Le Changement Viral et Bactérien

La science a désormais démontré que quelque 8% de l'ADN humain sont obtenus à partir des bactéries et des rétrovirus et ces changements peuvent se produire du jour au lendemain. Par exemple, un village reçoit un virus et cela modifie la structure de l'ADN littéralement dans les 24 heures (cf. ABC Catalyst programme sur les Changements Viraux et Bactériens de l'ADN).

Nous pouvons voir comment il est facile de mettre en œuvre des changements au système d'ADN humain et de modifier la nature de la structure raciale humaine. Nous savons que ces choses se sont passées à deux moments précis dans la structure biblique, et nous savons maintenant que le changement progressif se produit de plus en plus rapidement avec les rétrovirus, les bactéries, la radiation de fond et l'introduction des mutations de l'ADNmt elles-mêmes, qui provoquent une mutation supplémentaire à travers le génome humain.

Les modèles évolutionnistes sont maintenant démontrés d’être une blague avec chaque nouvelle découverte scientifique. L'ADN humain a été modifié et avec cette modification est venue la mort et la désintégration de l'intégrité du processus de reproduction de l'ADN, de là, une espérance de vie de plus en plus courte. La dispersion de Babel était un second événement majeur et nous n'avons aucune idée réelle de l'importance des changements opérés là pour accomplir le dessein de Dieu. Cela pourrait simplement avoir été fait avec une série de virus.

Les changements se produisent de plus en plus rapidement et nous le savons, mais les évolutionnistes déforment les faits.


Avis de l'Éditeur & Copyright

Christian Churches of God

PO Box 369, WODEN ACT 2606, AUSTRALIA

Courriel: secretary@ccg.org

(Copyright © 2007, 2008, 2009 Wade Cox)

(Tr. 2012)

Cette étude peut être copiée et distribuée librement à la condition qu'elle le soit en son entier, sans modifications ni rayures. On doit y inclure le nom, l'adresse de l’éditeur et l'avis des droits d'auteur. Aucun montant ne peut être exigé des récipiendaires des copies distribuées. De brèves citations peuvent être insérées dans des articles et des revues critiques sans contrevenir aux droits d'auteur.

 

Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre.